« - Vous fumez ?
- Seulement après l'amour.
… En fait, je ne fume pas ! »
« Comment va Arthur ?
- Ah, tu ne sais pas ? Après une vie passée dans les souffrances il repose enfin en paix.
- Désolé je ne savais pas qu'il était mort.
Il n'est pas mort ; mais sa femme oui. »
Sur le trottoir un couple se dispute furieusement.
Le mari dit à sa femme :
Ferme-la ! De toutes façons, tu ne vaux rien, tu ne comptes pour rien !
Comment ça, je ne compte pour rien ?
Tu veux une preuve ?
Un taxi arrive, le type l'arrête et lui demande :
C'est combien pour aller d'ici au Châtelet ?
15 euros à peu près.
Et si j'y vais avec ma femme ?
Euh, c'est pareil…
« Alors, tu vois bien ? »
Un mari surprend sa femme au lit avec un autre homme.
Il se dirige vers le placard, sort un pistolet et le braque sur l'homme.
« Arrête ! lui crie sa femme ; tu ne vas quand même pas tuer le père de notre enfant ! »
Un soldat, parti en mission lointaine, n'a pu revenir à son foyer qu'un an après la naissance de son fils. Bien qu'il soit blanc ainsi que sa femme, l'enfant est un peu… bronzé. La jeune mère arrive à lui expliquer la cause de ce phénomène, ce qu'il traduit, dans une lettre à sa mère :
Chère Maman.
Il n'y a rien d'étonnant à ce que mon fils soit noir. Ta belle fille n'avait pas de lait et on a dû prendre une nourrice ; la nourrice était noire, et voilà pourquoi sa couleur a déteint sur le petit.
A cela la mère du soldat répond :
Mon cher fils.
Quand tu es né, on a connu la même situation ; je n'avais pas de lait, alors on t'a fait nourrir par une vache. Mais chez toi, c'est plus lent puisque les cornes commencent seulement à te sortir.
Il y a foule dans le bus. Tous les passagers sont debout, serrés comme des sardines. Tout à coup, une voix provenant de l'arrière hurle :
« Un médecin ! Vite, un médecin ! »
A l'avant, un homme lève la main, et se fraye un passage dans la foule dense jusqu'au type qui l'a appelé, et qui lui demande :
« Deuxième vertèbre du cou en 4 lettres ? »
(Cadeau : la réponse est « Axis »).
Une femme après s'être faite ausculter par son médecin, lui demande avec inquiétude :
" - Docteur, dites-moi ce que j'ai !
- Ce n'est rien ! Juste de banales hémorroïdes.
- Comment ça ??? Je ne savais pas qu'on pouvait avoir des hémorroïdes sur le visage !
- Euh... C'est votre visage que je viens d'examiner ? "
Un jeune légionnaire répond à la lettre de sa fiancée :
" Je t'écris en tenant d'une main la photographie que tu viens de m'envoyer ; et de l'autre...
... Je pense à toi très fort ! "
LA LOGIQUE SELON LES INFORMATICIENS :
Une femme téléphone à son mari, informaticien :
Chéri, je rentrerai tard ce soir ; je n'aurai pas le temps pour faire les courses. Peux-tu passer chez l'épicier en rentrant ? Achète deux tranches de jambon. Ahhh, et pendant que j'y pense ! S'il y a des oeufs, prends en une douzaine.
D'accord chérie.
Le soir, le mari se pointe à l'épicerie :
Avez-vous des oeufs ?
Oui.
Alors donnez-moi une douzaine de tranches de jambon !
Réussir dans tous les âges de la vie, c'est :
à 3 ans | |
à 12 ans | |
à 18 ans | |
à 20 ans | |
à 35 ans | |
à 50 ans | |
à 60 ans | |
à 70 ans | |
à 75 ans | |
à 80 ans |
Il y a foule dans l'autobus.
Une vieille avance vers une jeune femme qui est tranquillement assise et s'adresse à elle :
« - Vous pourriez quand même me laisser votre place ; je suis bien plus âgée que vous !
- Mais... moi, je suis enceinte !
- Ah bon ? Ca ne se voit pas. Depuis quand ?
- Depuis une demi-heure seulement ; mais je vous assure que je suis bien fatiguée ! »
Un chanteur de rock, lassé de son existence
parisienne, des mondanités, de la presse à scandale, décide de changer de vie.
Et de se retirer à la campagne, loin de tout.
Il vend son hôtel particulier, ses 3 Rolls, et tout
ce qu'il possède et achète un mas et un terrain au milieu du Larzac, à 20
bornes du plus proche village. Il voit le facteur une fois par semaine et va
faire les courses au bled une fois tous les mois.
Au bout d'une année de cette vie d'ermite, alors que
la solitude commence un peu à lui peser, un beau matin on frappe à sa porte. Il
ouvre et voit un vieux et robuste paysan avec une longue barbe, dégageant une forte
odeur de chèvre qui lui dit :
-
Bonjour
voisin ! Je suis le père Matthieu. J'habite à cinq kilomètres dans cette
direction, derrière la colline. Demain j'organise une petite réception avec
tous les gens du voisinage. Si tu veux, tu peux venir.
-
Volontiers
- répond le chanteur - ce n'est pas que je m'ennuie... mais après un an passé
sans voir personne, ça serait chouette de voir un peu de monde.
Le paysan fait un salut de la main et s'en va. Mais
après quelques pas il se retourne en direction du chanteur :
-
Tu
es nouveau ici, je dois t'avertir d'une chose : Ici on boit sec ! Tu
devras tenir l'alcool.
-
Pas
de problème, j'ai de l'entraînement. Quand j'étais en ville, dans les soirées
mondaines, on suçait pas que de la glace. Je suis passé maître dans ce domaine.
Le père Matthieu reprend le chemin de sa
maison ; mais après deux mètres revient en arrière :
-
Dis,
l'estranger, je dois aussi te prévenir : dans notre coin ce genre de
réunion se termine toujours en castagne
-
Oh !
j'ai l'habitude. Dans les sorties d'après concert j'étais pas le dernier à faire le coup de poing.
Pour la troisième fois, le paysan s'éloigne, puis se
ravise et dit au chanteur :
-
Une
dernière chose : il est très possible que la soirée dégénère en
partouze !
-
Ça
tombe bien ! Si tu savais ce que j'ai fait à ce sujet dans mon ancienne
vie, tu ne le croirais pas ! Et justement, après un an passé ici sans voir
une femme, je me sens très en forme de ce côté là ! Bon, c'est d'accord,
je viendrai. Mais, dis-moi comment je dois m'habiller ?
Oh ! ça n'a pas d'importance ; on ne sera que tous les
deux !
Un jeune homme très
« fleur bleue » désire offrir à sa fiancée un cadeau d'anniversaire.
Comme ils se connaissent depuis peu il ignore ses goûts et se décide pour un objet
passe-partout mais de classe : une paire de gants fourrés, romantiques et
de bonne marque.
Il se rend donc dans une
boutique de luxe, accompagné de la jeune soeur de sa promise qui profite de
l'occasion pour y faire ses propres emplettes. Elle rêvait depuis longtemps des
deux petites culottes qui étaient en vitrine et elle a gagné suffisamment
d'argent dans son job d'été pour pouvoir se les offrir.
En emballant les paquets la
vendeuse se trompe. La jeune soeur hérite du sac contenant les gants et le jeune
homme envoie à sa fiancée le paquet cadeau contenant les deux slips auquel il a
pris soin de joindre une lettre :
Ma chérie
J'ai choisi ce cadeau pour
toi car j'ai remarqué que tu n'en portes jamais lorsque nous sortons ensemble.
Si c'était à ta soeur que je les avais offerts je les aurais choisis plus longs
et avec des boutons mais elle m'a confié que ce n'est plus la mode et qu'elle
préfère les modèles courts et faciles à enlever. « Comme c'est le premier
vêtement que je retire dès que j'entre chez quelqu'un, je veux pouvoir m'en
débarrasser facilement » m'a-t-elle dit.
Ceux-ci sont fins et d'une
teinte délicate mais la vendeuse m'a montré les mêmes, qu'elle porte depuis
trois semaines sans les avoir lavés ; ils ne sont ni sales, ni froissés.
J'ai essayé les tiens sur elle, car elle est de même taille que toi, et l'effet
était très élégant. J'ai même voulu les mettre, pour voir, mais je n'ai pas pu.
Bien sur, ils sont faits pour une femme et il faudrait être un homme bien fluet
pour arriver à entrer dedans.
Sais-tu que j'en ai moi
aussi ? Seulement une paire. En cuir noir. Les mêmes depuis cinq ans. Tu
ne les as jamais vus car je ne les porte que lors de mes ballades en forêt.
Quant à ceux que je t'offre,
attends-moi avant de les enfiler. Je voudrais que ce soit moi qui te les mette
pour la première fois afin qu'aucune autre main ne les touche avant que tu les
portes.
Chaque fois que tu les
enlèveras tu devras souffler un peu dedans ; il est normal qu'après les
avoir eus sur soi ils deviennent légèrement humides et collent à la peau.
Imagine-toi combien de fois
je les embrasserai cette année ! Je veux que tu les mettes tous les deux
le jour de notre mariage. Je te les retirerai l'un après l'autre quand nous
serons dans l'église, devant le curé. Par la suite, quand nous irons dans la
bonne société, (comme tu n'en portes jamais tu ignorais sans doute cet usage)
tu devras t'en défaire tout de suite chaque fois qu'un homme te proposera de te
baiser la main.
Avec tout mon amour.
PS : la vendeuse m'a
dit que la tendance actuelle de la mode était de les porter légèrement
retroussés en laissant apparaître un peu de fourrure.
Deux naufragés dérivent sur une chaloupe au milieu
de l'océan. Le soleil tape dur et ils n'ont rien à manger, et surtout à boire.
L'un d'entre eux lance dans l'eau une ligne de fortune et, après moult
tentatives, ramène un poisson doré. C'est un poisson magique. Il propose au
naufragé qui l'a attrapé d'exaucer un voeu, n'importe lequel, tout ce qu'il
désire.
-
Je
voudrais que toute cette eau qui nous entoure soit transformée en bière bien
fraîche !
Aussitôt la mer devient un liquide doré à l'odeur de
houblon. Le premier naufragé penche sa tête par dessus bord et avale à grandes
gorgées la bière délicieuse. Il se tourne vers son compagnon qui semble faire
la gueule dans un coin de la chaloupe.
-
Qu'est-ce
que tu as ? Tu n'es pas content ? Viens boire avec moi !
-
Espèce
de crétin ! Pourquoi as-tu demandé ça au poisson ?
-
Mais
nous n'aurons plus soif ni faim !
-
Peut-être !
Mais maintenant on devra pisser dans le bateau !
Dieu vient de créer l'homme, puis la femme. Ils
vivent heureux et innocents.
Le serpent leur rend visite :
-
Il
est temps pour vous d'avoir une descendance.
-
Mais,
comment fait-on ? - demande Adam.
-
Prends Ève par la main.
-
Comme ça ?
-
Oui !
Et maintenant embrasse-là !
-
Ça
veut dire quoi, embrasser ?
-
Mais
quel idiot ! Tu lui colle tes lèvres sur la bouche !
Adam s'exécute. Puis après un baiser maladroit se
tourne vers le serpent.
-
Et
ensuite ?
-
Emmène
la dans ces buissons et... laissez-vous aller ! Ça viendra tout seul.
Adam et Ève s'en vont dans les fourrés. Le serpent
attend, une minute, deux, trois. Puis la tête d'Adam apparaît au dessus des
buissons.
- Dis-moi, serpent, ça veut dire quoi
« migraine » ?
Kévin revient en classe à 2 heures après s'être gavé
de cassoulet. Bien sur, il lâche un énorme pet !
La maîtresse lui ordonne de sortir immédiatement. Il
s'exécute et se retrouve seul dans le couloir. Arrive le directeur de l'école
qui lui demande ce qu'il fait là.
« - je pense... répond Kévin.
- et à quoi penses-tu ?
-
J'ai
pété en classe. Ça pue horriblement dans la salle et je me demande pourquoi, au
lieu de me punir, la maîtresse m'a permis d'être le seul à pouvoir respirer
l'air pur.
Un policier arrive une nuit au commissariat,
complètement à poil.
Son collègue lui demande :
« - qu'est-ce qui t'arrive ?
-
Eh
bien ma femme m'a dit : Désape-toi ! et au
boulot ! »
Un clochard rencontre un policier maître-chien
accompagné de son berger allemand.
« Qu'est-ce que tu fous avec ce cochon en
laisse ?
-
Ce
n'est pas un cochon, c'est un chien
-
Ta
gueule ! C'est pas à toi que je cause ! »
Au cinéma. Une voix féminine s'élève dans
l'obscurité :
« Monsieur ! Retirez immédiatement votre
main de mon genou ! »
Après un moment.
« Pas vous monsieur ! Je parlais à mon
voisin de droite ! »
Une femme infidèle est au lit avec son amant.
Le téléphone sonne - elle répond
« qui c'était ? demande-t-il
-
mon
mari
-
et
qu'est-ce qu'il t'a dit ?
-
Qu'il
rentrera plus tard car il joue au bridge avec toi. »
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