Q : Quelle est la différence entre les litres de vodka et les seins ?
R : Aucune ! Un ce n'est pas assez, et trois c'est trop !
Dans une station balnéaire de Crimée au début des années cinquante, un touriste occidental qui s'est pris d'amitié pour le rédacteur du journal local lui pose naïvement la question :
" - Pourquoi, dans votre journal, ne critiquez-vous jamais le parti et Staline ?
- Parce qu'ici, je mange du pain blanc au bord de la Mer noire,
et je préfère ça que l'inverse !"
En Russie, un nombre croissant de gens, déçus par la décadence de leur pays, sont favorables au rétablissement de l'ancien drapeau rouge à la place du blanc-bleu-rouge actuel ; comme au bon vieux temps du communisme ( !).
Cette aspiration populaire arrive aux oreilles du gouvernement russe qui commence à étudier la question ; et bientôt, par le biais des services secrets, à celles de tous les gouvernements... et des grandes multinationales.
Un jour Vladimir Poutine reçoit un coup de téléphone :
- Bonjour ! Ici la compagnie coca-cola. Nous avons entendu parler de votre projet de changement de drapeau. Et nous avons une proposition pour vous : si vous adoptez de nouveau le drapeau rouge, installez-y notre logo ; nous prenons en charge la moitié de votre budget pendant deux ans !
- Etrange idée ! répond Poutine. Mais je vous promets d'y réfléchir. Je vous rappellerai.
Il raccroche le combiné, puis se tourne vers son conseiller :
- Dis Sacha, à quelle date se termine notre contrat avec aquafresh ?
Un avion contenant des passagers de toutes origines vole tranquillement... Comme dans tous les avions d'histoires drôles il y a, parmi les passagers un représentant de chaque peuple (i.e. un Chinois, un noir d'Afrique, un juif, un arabe, un belge, un Russe, peut-être même un peau-rouge ; mais on s'en fout du peau rouge, il ne servira pas, les autres non plus d'ailleurs, quoique...). Il y a SURTOUT un Américain, un Français et un Polonais.
Un des réacteurs s'éteint et l'avion se met à perdre de l'altitude. Le pilote largue les bagages (c'est bien connu, sur le tableau de bord d'un avion de ligne se trouve un bouton « largage des bagages »). Mais un autre réacteur donne des signes de fatigue. Le pilote fait alors une annonce au micro :
- Nous perdons de l'altitude. Si nous n'allégeons pas l'avion, nous allons nous crasher !
C'est la consternation parmi les passagers.
L'Américain se lève et dit aux autres que Batman, Superman, Spiderman sont des héros américains ; et qu'il se doit de les imiter. Il va au bar de l'avion, boit toutes les bouteilles de whisky qui s'y trouvent, viole toutes les passagères blondes, crie :
" God bless America ! "
et saute.
Un troisième réacteur tombe en panne (c'est vraiment pas de chance!) et l'avion se remet à descendre.
Le Français, voulant montrer qu'il est aussi courageux que l'Américain, se dirige vers le bar. Il vide toutes les bouteilles de vin rouge, viole toutes les passagères brunes, crie :
« Vive la France ! »
et saute.
Le quatrième réacteur faiblit (arf !). Tous les yeux se tournent vers le Polonais.
Celui-ci, en roulant les mécaniques, se dirige vers le bar ; il boit tout ce qui reste. Il ouvre la cantine du « duty free shop » et vide toutes les bouteilles qui s'y trouvent. Puis l'armoire à pharmacie et boit tout l'alcool et l'éther qui y sont stockés, viole TOUT ce qui bouge dans l'avion, crie :
« Vive le Mozambique ! »
et jette l'Africain par la portière.
Un type entre dans un bistrot, s'accoude au zinc et s'adresse au barman :
« - Que me conseillez-vous comme boisson ? Quelque chose de costaud !
- Prenez un « maximum 3 » c'est la spécialité de la maison !
- Ah bon ? Et ça consiste en quoi ?
- Ben, on prépare une casserole ; assez grande. On y verse un verre de vin... ou deux... ou 3 maximum. Puis on ajoute un demi de bière... ou deux... 3 au
maximum. Ensuite on met un verre à liqueur de vodka. On peut en mettre deux... ou bien maximum 3.
Puis un petit verre de cognac... ou deux... ou 3 au maximum !
On met ensuite la casserole sur le feu. On porte le mélange à ébullition et on sert dans un bock. Ça se boit chaud et assez vite pour ne pas que ça refroidisse...
Après, on se lève. On fait un pas... ou deux... 3 maximum !!!
Ça se passe en Pologne. Un américain se pointe dans un bistrot ; il s'adresse aux clients attablés :
« On m'a dit que vous, les polaks, vous aviez une bonne descente. Je demande à voir ! Je vous parie 500 $ qu'aucun d'entre vous n'est capable de s'enfiler un litre de vodka cul-sec. »
Personne ne bouge. Sauf un petit maigrelet qui se lève et sort du bar.
Quelques minutes s'écoulent. Le gringalet revient, avance jusqu' à l'américain, et lui demande :
« - Ton pari tient toujours ?
- Bien sûr ! Patron ! Un litre de vodka pour monsieur ! »
Le type saisit la bouteille, prend une profonde inspiration, et... Glou, glou glou !
Lorsqu'il la repose, Il ne reste plus une goutte. L'américain sort son portefeuille, en tire un billet qu'il donne au type. Et l'interroge :
« - Tu as une combine ? Tu peux me dire maintenant ; où étais-tu passé avant de revenir ici ?
- Je suis simplement allé au bistrot d'en face pour vérifier si j'étais capable de vider un litre de vodka cul-sec ! »
Dans une quincaillerie en Russie.
« - Bonjour, vous avez des clous ?
- Non, il n'y en a pas.
- Une bêche de jardin ?
- Il n'y en a pas non plus.
- Un seau ?
- Non, désolé.
- Qu'est-ce que vous avez ?
- Rien !
- Alors pourquoi ne fermez-vous pas cette boutique ?
- Parce qu'on n'a pas de verrou !
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